Après un tour à la librairie, la demoiselle était partie directement du côté des baguettes magiques. La sienne avait traversé bien des épreuves, le bois commencé à s'user et l'on voyait qu'elle était au bout de ses peines avec. Les tours les plus compliqués devenaient une abomination a réaliser, elle n'avait donc plus le choix … Une nouvelle baguette était le meilleur à faire. Elle ne voulait plus suivre sa famille. Ça lui donnait en plus une raison de plus de changer de baguette. Elle avait choisir la sienne chez Ollivander, sous les choix de son père, et en prendre une d'un autre artisans les ferait sûrement rager. Elle était presque contente de son coup. Elle était rentré dans la boutique de Tomasievine. Le vieil homme l’accueilli d'un ton professionnel la saluant tandis qu'elle se rendait près du comptoir. « Bonjour. J'aurais besoin d'une nouvelle baguette... » Elle ne savait pas trop ce dont elle avait besoin ,elle connaissait Ollivander mais pas celui ci. Il lui fit un sourire, avant de lui poser quelques questions. Il sortit quelques baguettes de leur boites, lui faisant essayer, sans pour autant qu'elle ne se sentent à l'aise avec aucune d'elle. Il n'arrivait probablement pas à la cerner, mais elle avait réellement besoin d'une nouvelle baguette et ne repartirait pas sans, même si elle devait y passer l'après midi. Elle savait se montrer patiente quand il le fallait...

Une nouvelle baguette magique. Il fallait absolument une nouvelle baguette magique pour Lotta. Elle avait cassé la sienne il y a peu de temps, un accident bête. Ou plutôt, encore pire, vu que ce n'était pas vraiment un accident. Lorsqu'elle était en vacance chez elle, dans un moment de désespoir et de rage, elle l'avait jeté violemment par terre. Bon, dit comme ça, on pourrait croire que Lotta avait fait un caprice de fille trop gâtée, mais même pas. Elle était juste désespérée et voilà... Et comme résultat, sa baguette magique s'était cassée.
C'était bête, elle l'adorait sa baguette magique en Bois de pin sylvestre avec un crin de licorne et de 26,3 cm.
Elle avait pleurer sa baguette, si si c'est vrai. Elle avait traverser tellement de bon - et moins bon - moment avec elle. Elle savait qu'elle pouvait avoir confiance en sa baguette. Mais voilà, cette baguette était cassée et elle n'avait pas pu la faire réparé.

Elle venait d'ailleurs également de cette boutique et elle y revenait avec joie pour en acheter une nouvelle.

" Bonjour Monsieur Tomasievine, je viens pour m'acheter une nouvelle baguette, mon ancienne s'étant cassée il y a peu de temps. "

Après avoir dit cela, elle s'approcha du comptoir pour voir ce qu'il avait à lui proposer.

Anya commençait à s'impatienter, elle piétinait sur place. Elle recula d'un ou deux pas, avant de trébucher dans ce qu'elle supposait au départ être ses propre pieds, remarquant finalement que c'était plutôt une plume d'hippogriffe tombé de son sac. Elle tomba en arrière, se rattrapant comme elle le pouvait à l'étagère et renversant plusieurs boites de baguettes magiques. « He merde ... » Elle soupira en se relevant, s'excusant au près du vendeur, ramassant les boites et les remettant dans l'étal. Certaines baguettes étaient tombées hors de écrin. Finalement il sembla qu'une baguette attira son attention. Elle était plutôt longue, à vue de nez, une trentaine de centimètre,son manche était comme nacré, le bois étant blanc. Elle était vraiment élégante. Elle la prit en main et une gerbe d'étincelles jaillirent. La baguette l'avait choisie. « Trente virgule cinq centimètre, bois de tremble, très élégant. Mais un cœur pour le moins inhabituel. » Ana ' tourna son regard curieux vers lui. «  Bouse de dragon. » Des rougissements apparurent sur ses joues, elle termina de ranger les boites. Elle ne pouvait rien y faire, la baguette l'avait choisie. Elle déposa les cinquante galions sur le comptoir avant de fuir.

Tu n’avais plus que deux boutiques à faire avant d’avoir finalement terminé tes achats et pouvoir retourner t’enterrer dans ta chambre universitaire. Tu t’occuperais de l’animalerie en dernier. A nouveau pays, nouvelle baguette. La tienne avait vécu trop de choses, lancés des sorts trop terribles pour que tu continues à l'utiliser. C'était aussi ton dernier lien officiel avec la France. Tu savais bien qu'il était stupide de penser qu'en te débarrassant de tout ce qui te rappelait Aksel, tu parviendrais à avancer. Quand tu pénétras dans la boutique, il y avait déjà un certain monde, toutes des filles que tu avais croisées précédemment. Pourvu qu’elles n’aient pas été témoins de ta tentative de drague intéressée. Tu n’avais pas envie de donner l’impression que tu jouais pour l’autre camp après seulement une journée dans l’Institut. « Bonjour. J’aurai besoin d’une nouvelle baguette magique. » Tu étais curieuse de voir quelle baguette allait te choisir cette fois. Tu étais bien différente de l’innocente Honoria qui avait acheté sa baguette en bois de tremble avec crin de sombral. Il te sortit plusieurs boîtes et tu restas nerveuse à l’idée de les essayer. Avec ta chance, tu allais encore déclencher une nouvelle catastrophe. Ça semblait être la journée de toute façon.

Oups, mon dieu, Lotta était particulièrement maladroite aujourd'hui. Vu qu'en faisant un faux pas, elle fit tomber une étagère remplie de baguette magique. Le rouge aux lèvres, elle bégaya des excuses au vendeur qui la regardait avec des yeux noirs. Quelle horreur, Lotta se mit donc à prendre les boites des baguettes magiques pour les remettre à leur place, une fois que le vendeur eut remis l'étagère en place.

" Excusez-moi monsieur, je ne voulais pas, je me suis encoublée dans le tapis. Je m'excuse, vraiment. "

Elle continuait à prendre les boites des baguettes et à les remettre à leur place. Et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle remarqua une drôle de chaleur en tenant une baguette. Elle se redressa et le vendeur également. Cette baguette venait de choisir son sorcier, cette baguette serait celle de Lotta. Une fois tout remis en place, elle se dirigea vers le comptoir et acheta cette baguette magique tout en payant un peu plus pour payer les dégâts de sa maladresse.

Le vendeur te donna une première baguette et tu t’en emparas en priant silencieusement merlin pour ne pas déclencher une catastrophe. Le vieux sorcier semblait visiblement d’humeur joueuse et ne t’accorda pas ton vœu. Dès l’instant ou la baguette fut dans ta main, à peine secouée, une des étagères se brisa tout net. Tu te contentas de secouer la tête, dépitée. Tu ne sursautas pas, ça n’avait rien de particulièrement étonnant. La magie était capricieuse évidemment. Sauf qu’avec l’accumulation de catastrophes qui se déclenchaient sur ton passage depuis que tu étais arrivée ici aujourd’hui, ça semblait vraiment gros. Tu te sentis obligée de t’excuser. « Nom d’un véracrasse ! Je suis navrée. Le destin semble s’acharner. Je suis une vraie andouillette aujourd’hui. » Tes excuses se perdirent dans ta gorge et tes sourcils se froncèrent alors que tu regardais le désordre causé par la réaction de la baguette. Tu pointas le doigt vers un des objets à terre. « Est-ce que c’est un slip de bain que j’aperçois sur le sol ?! » Qu’est ce que ça faisait là d’ailleurs ? Gêné, le vendeur se contenta de te fourrer une nouvelle baguette dans les mains et la magie se produisit. Il te sortit presque manu military de sa boutique une fois que tu eus trouvé la bonne baguette, sans te faire payer. Tu le remercias. Pour une fois qu’un incident te permettait d’éviter de payer, tu n’allais pas te plaindre.